| Nouvel album Swagger & Stroll Down the Rabbit Hole (Candlelight/Spinefarm) le 2 novembre prochain https://diabloswingorchestra.lnk.to/SwaggerandStrollDownTheRabbitHole |
Le groupe de rêvé de Tim Burton, Diablo Swing Orchestra, nous revient avec son cinquième album. L’ensemble suédois de huit membres, résolument progressif, s’apprête à revenir avec son cinquième album, Swagger & Stroll Down the Rabbit Hole, le 2 novembre, via Candlelight/Spinefarm.
Avant la sortie de l’album, le groupe nous propose son premier single » War Painted Valentine « . DSO est connu pour associer des éléments de jazz, de swing, de classique et de rock progressif avec à peu près tout ce qu’il y a entre les deux. Il n’est donc pas surprenant que le premier single de Swagger & Stroll Down the Rabbit Hole soit une fusion de genres que l’on pourrait décrire comme si Sepultura et Die Antwoord avaient décidé d’écrire une chanson pour le Carnaval de Rio.
Depuis sa création en 2003, le groupe a sorti quatre albums studio qui repoussent les limites musicales à l’extrême avec humour, créativité et une bonne dose d’agressivité positive. Leur premier album, The Butcher’s Ballroom, a été une véritable bouffée d’air frais lors de sa sortie en 2006, saluée par la critique mondiale. Le cinquième album du groupe, Swagger & Stroll Down the Rabbit Hole, est de loin leur projet le plus ambitieux, qui rend hommage aux quatre albums précédents tout en ajoutant de nouvelles couleurs à leur palette de sons déjà très large.
DSO s’est une fois de plus associé au producteur Roberto Laghi (In Flames, Hardcore Superstars) qui est presque devenu le neuvième membre de l’orchestre. Ensemble, ils ont creusé profondément dans chaque genre exploré à travers les treize titres de l’album et ont travaillé dur pour trouver les caractéristiques de genre attrayantes pour forger leur propre son. Cette approche a donné lieu à une liste impressionnante de musiciens invités et à des chocs très intéressants entre des sons qui, du moins sur le papier, ne devraient pas fonctionner. Les auditeurs à l’esprit ouvert sont récompensés par de nombreux bonus disséminés dans l’album, allant de l’assaut tribal de » War Painted Valentine » au Zeppelin-gospel de » Snake Oil Baptism « .
Comme pour beaucoup de groupes, Covid-19 a présenté de multiples défis mais aussi des opportunités qui leur ont permis de prendre leur temps en studio puisqu’il n’y avait pas de tournée en attente. Le processus de mixage a pris à lui seul plus de six mois, mais Diablo Swing Orchestra est convaincu d’avoir produit un album qui laissera une trace indélébile.
